Défense de l'homosexualité

Voila, je souhaiterais ici défendre l'homosexualité qui est une sexualité à part entière, contre laquelle il ne devrait y avoir aucune discrimination. Je reconnais que l'homosexualité me gêne lorsque je la rencontre, quoi de plus normal, mais je reconnais qu'elle est légitime. Voici donc un extrait fort parlant que je voulais vous présenter.

Par ailleurs, en ce qui concerne l'adoption et le mariage, je ne suis pas sur de ma position, c'est une autre histoire

Sommes-nous responsables de la sexualité de nos enfants ?

Ma petite-fille a 20 ans. Elle était une élève brillante, gentille et sans problèmes. Puis elle a annoncé à sa mère qu'elle aimait une fille. Ma fille – sa mère – en est tombée malade et refuse de les recevoir ensemble. Naît-on ou devient-on homosexuel(le) ?
Ida, Marseille

"Etant psychanalyste, je considère que tout ce qui fait notre vie adulte s'est construit. Et dépend donc de notre histoire. Mais j'ai, je vous l'avoue, quelques réticences à vous répondre de la sorte.

Car votre question est, sans que vous le vouliez, « piégée ». Elle évoque en effet à la fois la culpabilité (sommes-nous pour quelque chose dans les choix sexuels de cette jeune femme ?), et la ségrégation. Car la façon dont vous parlez de ces choix montre que vous les considérez manifestement comme « anormaux ».

Or, l'homosexualité (si tant est que votre petite fille soit homosexuelle car, à 20 ans, on se cherche...) n'est en rien une anormalité. C'est une sexualité différente de l'hétérosexualité. Mais ni plus ni moins « normale » qu'elle. Et il n'y a aucune raison de la condamner puisqu'elle est le fait de partenaires adultes et consentants.

Le rejet dont elle est victime dans notre société ne peut prétendre à aucune scientificité. Il est d'ordre idéologique. Et de nombreux historiens ont étudié la façon dont, notamment, la psychiatrie et l'Eglise (qui en ont longtemps fait – respectivement – une maladie mentale et un péché très grave) ont contribué à le construire. Je crois que vous devriez essayer d'aider votre petite-fille, qui se voit rejetée alors qu'elle a parlé en confiance ; et sa mère, en l'amenant à s'interroger. Car ce n'est peut-être pas, comme elle le croit, l'homosexualité (supposée) de sa fille qui la dérange. Mais le fait que celle-ci soit non plus une enfant sage mais une femme... pourvue d'une sexualité.

Il n'est jamais facile pour les parents de voir grandir leurs enfants ; et de les voir devenir « eux ». C'est-à-dire des êtres forcément différents de ce qu'ils avaient prévu. Mais rien ne justifie pour autant qu'ils les sacrifient sur l'autel de cette différence..."

Psychanalyste, auteur de Parler, c'est vivre (Nil, 1997), Claude Halmos répond chaque mois à quatre lettres sélectionnées parmi un abondant courrier, dont nous publions des extraits."

Sans vouloir entré dans les détail.
Je penseque tou le monde est consient de cela et que la majorité des gens on commencer a respecter l'homosexualité.

Le probleme aujourd'hui est celui du mariage et de l'adoption.
Et c'est plutot un assez gros probleme.
Comment des hommes peuvent ils déterminé ce que peuvent ou ne pas faire d'autre hommes ?

Au dela de cette question qui n'a aucune valeur, reflechison sur des arguments, plus concret.
Comme : les discimination et le smoquerie qui ne sont pas pret de disparettre, de l'ethique, de l'equité/égalité du probleme juridique que cela pause, de l'evolution qui peut découler de l'adoption...
Ce sont cela, les vrai question qu'il faut ce poser.

Quant à l'origine de l'homosexualité, on peut aussi dire que c'est une accumulation de faits: contexte social, relations avec les parents, entourage... Donc on ne peut pas dire que l'on est vraiment "prédéterminé".

Pour parler de l'adoption et du mariage, c'est plus compliqué.
Cela que c'est un grosse modification dans les moeurs. Cela ne se fera pas tout de suite. Il faut laisser le temps ( mais se pose le problème de ceux qui le désirent en ce moment ) et cela se fera naturellemnt, on a deja vu de tels changements dans l'histoire. L'homme s'effrait toujours vis à vis des nouveautés.

Quoique qu'il n'y a pas a trop s'effrayer: l'homosexualité était omniprésente en Gréce Antique et ne choquait personne.

Non c'est dans la Rome antique qu'elle etait omniprésente, en grece aussi, mais les Grec etait beaucoup plus civilisé que les Romain et le montr&is moins.